Aujourd’hui, c’est encore un autre élan qui porte le couple : faire du tapa des œuvres d’art. Moe Meder veille sur le fa’a’apu où poussent les aute, mûriers à papier, fabrique les outils pour battre le tapa ; Hinatea Colombani dessine sur ces étoffes naturelles ; et ensemble ils battent le tapa.
« Nous sommes portés par un élan, une énergie, une inspiration. »
Ils travaillent également sur une étude, commandée par l’AFD (Agence Française de Développement) pour établir si une filière tapa est soutenable économiquement, écologiquement et socialement en Polynésie française.
Le couple entrepreneurs a également créé le ‘Arioi label pour les entreprises qui souhaitent intégrer la culture auprès de leurs salariés et de leurs clients et surtout ne pas tomber dans le piège du folklore mais rester le plus authentique possible. Et ils poursuivent leurs rencontres et leurs recherches